Cette semaine, je reste en terrain connu avec cinq auteurs que j’apprécie particulièrement. Mais je garde aussi une marge de découverte avec le premier roman d’un acteur dont j’aime beaucoup les élucubrations.
J’avais adoré ma lecture d’Automne et j’attendais particulièrement le second opus de cette auteure anglaise, Ali Smith.
Depuis Le peintre d’éventail, je lis régulièrement Hubert Haddad. Je ne pouvais donc pas passer à côté du dernier.
Carole Zalberg est aussi devenue une auteure incontournable pour moi. Aussitôt paru, son dernier roman a rejoint mes étagères.
Je poursuis avec les écritures poétiques et celle de Lyonel Trouillot me fait voyager. Hâte de rencontrer Antoine des Gommiers.
Découverte avec Marina Tsvétaïéva , mourir à Elabouga, je continue ma lecture de Venus Khoury-Ghata.
Je termine avec Edouard Baer, « parce qu’il n’y a pas de Bon ou de Mauvais » roman. Voyons voir ce que donne cet auteur bavard à l’écrit.
Commentaires
je lirai sûrement celui de Carole Zalberg!
Je te le souhaite
Zalberg pour moi aussi, Trouillot, Ce sera assez pour ma pal, qui n’arrête pas de gonfler.
Je n’ai pas trop aimé Loin-Confins mais je viens de lire avec émotion Dernière visite à ma mère, confrontée au même problème; je crois que c’est le premier « récit » de Marie-Sabine Roger, autobiographique. Pas de pathos évidemment avec cette autrice sensible et délicate. Encore une que j’ai découverte dans les années 90 avec ses bons romans jeunesse.
Zalberg et Trouillot , beaucoup de poésie. J’avais postulé sur Masse critique pour le récit de Marie- Sabine Roger parce que son humanité traitera à merveille ce sujet mais j’ai été retenue pour un autre livre.
je me laisserais bien tenter par « Hiver » car j’ai plutôt apprécié « automne » mais vraiment emballée quand même…
Et retrouver Haddad pourquoi pas (cela me rappelle que je n’ai pas dû rédiger ma chronique du « Peintre d’éventail » à l’époque …
Deux lectures qui auront sûrement le mérite de me sortir des sentiers battus. Enfin , j’espère