Titre : Le divan illustré
Auteur : Michel Longuet
Éditeur : Les Impressions Nouvelles
Nombre de pages : 208
Date de parution : août 2015
Auteur :
Michel Longuet est né en 1945 à Reims. Après des études d’architecture, il a commencé une carrière d’illustrateur, collaborant notamment à la revue Minuit et à Télérama. Également cinéaste, ses courts-métrages d’animation ont été primés à Berlin (Ours d’argent) et Annecy.
Présentation de l’éditeur :
« Le samedi 29 septembre 2001, j’entre en analyse sous la houlette de Madame W. Je vous écoute, dit-elle, en me montrant son divan… De retour chez moi, je consigne chaque séance. Le Divan illustré raconte donc mon enfance, la famille et ses secrets qui, petit à petit, remontent à la surface comme des bulles du fond d’un étang. La famille est une forteresse où il se passe des choses abominables, a-bo-mi-na-bles, me dit Madame W. Au fil de nos séances, sortiront de leur placard des fantômes de la collaboration. Et peu à peu, m’apparaîtra un lien entre les secrets d’une famille sous l’occupation allemande et ce masochisme qui m’a poursuivi toute ma vie. » M.L.
Mon avis :
Une psychanalyse à la fois écrite et dessinée pouvait être intéressante. Mais, nous sommes ici dans la plus basique des analyses freudiennes où tout remonte à la petite enfance et au sexe.
Bon, vous me direz, le sexe, nous sommes adultes et vaccinés mais lorsque l’auteur m’amène sur le terrain de la scatologie, je commence à trouver cette analyse un peu trop déjantée à mon goût.
Je n’ai trouvé aucun charme aux dessins sauf, peut-être celui de la couverture.
Un carnet de croquis que Eve ou Pativore ont davantage apprécié.
Commentaires
Joyeux Noël Jostein, bisous
Je ne pense pas spécialement être le bon public pour ce titre.
Et je n’insisterai pas.
Je vais me contenter de la couverture, alors.
Bien résumé