Premier bilan de l’année. C’est reparti pour une année de lectures et de partage. En général, le froid de l’hiver me permet de lire davantage en janvier. Cette fois, avec un début et une fin de mois un peu chargés, je colle tout juste à ma moyenne avec 12 livres lus. Uniquement des romans de cette rentrée littéraire.
En janvier, les articles les plus consultés sur mon blog :
1- Rentrée littéraire Hiver 2019, Tour d’horizon par éditeur
2 – Le procès du cochon de Oscar Coop-Phane
3 – Les imparfaits de Sandrine Yazbeck
4 – Bacchantes de Céline Minard
5 – Manifesto de Léonor de Recondo
Quelques mots sur le challenge 1% rentrée Littéraire 2018 qui s’achève au 31 janvier 2019. Je finis avec 51 livres lus, soit 9% des 571 livres parus entre août et octobre 2018. J’ai lâchement abandonné la remontée de mes résultats sur le site de Sophie et je m’en excuse auprès d’elle.
Quelles seront les réjouissances de février, à part la chandeleur, le nouvel an chinois et la Saint Valentin. Voici quelques titres que je compte lire en ce plus petit mois de l’année.
Commentaires
Joli bilan 🙂 D’os et de lumière m’intrigue pas mal…
De l’originalité dans la forme, ça fait du bien
Février? De façon certaine, Le voyage du canapé-lit de Pierre Jourde dont j’admire l’écriture.
Mon coup de cœur de janvier: Dans le faisceau des vivants de Valérie Zenatti.
Je devais recevoir le Zenatti, il s’est perdu ( pas pour tout le monde) dans les méandres de la Poste. Du coup, je l’ai acheté hier.
Je n’ai jamais lu Pierre Jourde. Je note
Certains sont aussi dans ma PAL 😉
Bonnes lectures et on se retrouve sur les avis
Avec plaisir !!
Tu me fais signe pour le Tardieu ?
Je n’y manquerais pas
Je viens de lire Le procès du cochon, à la fois triste et drôle…
beau programme!
j’avais bien aimé « l’île du point Nemo » de Jean Marie Blas de Robles, l’aviez vous lu ? j’aime beaucoup son imagination tourbillonnante… Est il de la même veine ?
J’avais beaucoup aimé L’île du Point Nemo. J’ai moins aimé celui-ci et Là où les tigres sont chez eux. Le fil est moins évident. Mais il y a toujours cette « imagination tourbillonnante »