Pour la cinquième année consécutive, Sur ma table de nuit réitère le challenge contre l’homophobie parce que, encore et toujours, il faut lever les tabous.
Comme les années passées, le but sera de lire au moins 6 livres d’ici la fin de l’année. Six livres comme les six couleurs du drapeau représentant la cause gay et lesbienne, le drapeau représentant les initiales du mouvement LGBT(QI).
Suivi de mes lectures :
1 – La confusion des sentiments de Stefan Zweig
2 – Dîner à Montréal de Philippe Besson
3 – Jour de courage de Brigitte Giraud
4 – Miss Islande de Audur Ava Ólafsdóttir
5 – Sugar run de Mesha Maren
6 – Tous les hommes désirent naturellement savoir de Nina Bouraoui
Commentaires
C’est une belle idée de Challenge que je ne connaissais pas du tout.
Bonne lecture & bonne journée
Super challenge! Au mois de mars, j’ai Des jours sans fin de Sebastian Barry qui entre dans cette catégorie. Une formidable histoire d’aventure, d’amour, de tolérance. Un gros coup de cœur, tant par le fond que par la forme.
J’ai lu plusieurs titres de cet auteur et j’avais bien aimé. Je pourrais inscrire Des jours sans fin pour ce challenge
Je l’ai pas mal fait lire autour de moi: il fait l’unanimité! C’est une valeur sûre! 😉
Une écriture passionnée et une lecture intense. J’ai lu dans la foulée L’ennemie d’Irène Nemirovsky et j’ai retrouvé dans une moindre mesure ce concentré efficace. Juste la bonne mesure
Je suis évidemment contre l’homophobie, mais j’en ai marre de ce thème en littérature…J’ai lu un essai: »qui a peur de la théorie queer ». En revanche, je relirai volontiers la Confusion des sentiments.
Je n’ai pas aimé « çà raconte Sarah » ni « Play boy »J’ai apprécié Anna Sarah K. et la façon dont Simonet parle de sa propre homosexualité. Je l’ai rencontré récemment , il est très sympathique.
Comme pour tous les thèmes, il y a de bons et de moins bons romans.
Je ne peux que te conseiller Les variations sentimentales d’André Aciman, qui montre à quel point l’amour et la passion ne dépendent pas du genre en face de soi… Ça raconte Sarah, j’avais adoré aussi, un vrau coup de cœur, contrairement à Annie-France Belaval qui a commenté au dessus