delivranceTitre : Délivrance
Auteur : Jussi Adler Olsen
Éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 672
Date de parution : janvier 2013

Auteur :
Le Danois Jussi Adler-Olsen est la nouvelle star du polar scandinave. Vendu à plusieurs millions d exemplaires au Danemark et en Allemagne, traduit dans le monde entier, il est l auteur de la série Département V, les enquêtes de l inspecteur Carl Mørck.

Prix « Laurier d or » des libraires au Danemark, prix Clé de verre (meilleur polar scandinave) et Grand prix polar des lectrices de Elle 2012 pour son premier roman Miséricorde.

Présentation de l’éditeur :
Il a glacé le sang de milliers de lecteurs et s’est imposé en deux romans comme un maître du polar nordique : couronné par les plus grands Prix scandinaves, le Danois Jussi Adler-Olsen secoue à nouveau le paysage du thriller… La chasse haletante et presque désespérée lancée par le cynique inspecteur Carl Mørck et son fidèle assistant Assad derrière un tueur que rien ne semble pouvoir arrêter ne le dispense pas de jeter au passage un regard acerbe et troublant sur la société danoise.
Au fin fond de l’Ecosse, une bouteille ancienne en verre poli est longtemps restée sur le rebord d’une fenêtre. Personne ne l’avait remarquée, pas plus que le message qu’elle contenait. Un message qui commence par le mot Hjœlp, « au secours », en danois, écrit en lettres de sang…
Envoyée par la police anglaise à Copenhague, la mystérieuse missive atterrit entre les mains de Mørck et de son équipe. Son déchiffrage révèle qu’elle provient de deux garçons qui auraient été kidnappés dix ans plus tôt. Chose étrange : leur disparition n’a jamais été signalée…

Mon avis :
Je comprends maintenant pourquoi le dernier roman de Jussi Adler Olsen, Délivrance a un tel succès. Tout d’abord, il s’agit d’un polar scandinave et cette catégorie a « le vent en poupe ». Ensuite, l’auteur met en scène pour ces enquêtes du Département V, un enquêteur très incarné, sympathique et un peu marginal, Carl Morck. Et enfin, l’enquête se déroule dans les milieux des sectes et le présumé coupable, même si il a des circonstances atténuantes liées à son éducation est un être froid et détestable.
 » Le fanatisme religieux faisait toujours autant d’adeptes qui, à l’instar de ses parents, se montraient incapables de comprendre ce qu’aimer son prochain signifie vraiment. »
Ceci crée en moi la volonté de piéger cet être abject et donc de m’accrocher avec passion au déroulement de l’enquête.
Tout est réuni pour être vraiment au cœur de l’action. Les chapitres alternent sur plusieurs points de vue, les pistes de chacun convergent vers un dénouement intense et trépidant. L’auteur prend soin s’immiscer quelques enquêtes annexes et surtout allège le côté inhumain des délits par un humour primaire et décalé lié aux
enquêteurs. En effet, si dans les premières pages, je prenais les adjoints de Carl, « ce spécialiste des affaires dont plus personne n’a rien à foutre. », pour de sombres rigolos et doutais de cet humour facile, la naïveté d’ Assad et la bizarrerie de Rose ou d’ Yrsa sont apparues ensuite comme une fontaine de jouvence au coeur de l’horreur.
 » Carl leva les yeux vers ses assistants, probablement les deux personnes les plus étranges à avoir arpenté les couloirs de l’imposante bâtisse qu’était l’hôtel de police. »
Voici donc un trio d’enquêteurs très personnels que l’on a hâte de retrouver sur des enquêtes aussi passionnantes.
Je vais d’ailleurs commencer par reprendre les deux premières enquêtes, Miséricorde et Profanation.

Je remercie babelio de m’avoir offert l’occasion de découvrir Jussi Adler Olsen, dans le cadre d’une opération Masse Critique

Ce livre a reçu deux prix : le Prix du meilleur thriller scandinave et le Prix des Libraires danois.

a-tous-prix  New Pal 2013 nordique

 

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