Titre : Wonder Mum en a ras la cape
Auteur : Serena Giuliano Laktaf
Editeur : Editions Baudelaire
Nombre de pages : 116
Date de parution : janvier 2015
Auteur :
Mère de deux enfants, chef d’entreprise, Serena Giuliano Laktaf est l’auteure d’un premier roman, Wonder Mum en a ras la cape (2014).
Présentation de l’éditeur :
Si tu es une mère imparfaite, allaitante ou pas, que tu portes en poussette, en écharpe ou à dos de chameau, que tu cuisines pour tes enfants ou que tu ne jures que par les petits pots, que tu aies aimé être enceinte ou détesté le ventre rond, si tu as envie de faire du mal à Dora, que parfois tu te sens dépassée, que tu as un peu d’humour et beaucoup de second degré ce livre devrait te parler ! Tu es un papa ? il se peut qu’il t’intéresse aussi, et quant à toi, personne sans enfant, être chanceux de ton état, cet ouvrage te décidera peut-être à sauter le pas… OU PAS !
Mon avis :
« Ouais, être mère c’est devenir une super héroïne, qui se shoote aux câlins et aux bisous dans le cou. »
Avec beaucoup d’humour et de tendresse, Serena nous parle de son expérience de mère. Des moments difficiles (grossesse,coût de l’équipement, accouchement, allaitement, premières nuits, premières années) qui donneront à certaines l’envie de renoncer mais aussi des moments inoubliables parce que ces bouts de chou sont trop mignons.
Et Serena a d’autant plus de raison de chérir son fils qu’il est né avec trois mois d’avance. Césarienne difficile, deux mois de couveuse sans pouvoir prendre son bébé.
» Ce jour-là, ce lundi, est le plus beau et le plus horrible jour de ma vie. J’ai cru mourir mais pire, j’ai cru te perdre, toi, mon bébé, mon sang…C’est là que j’ai réalisé à quel point une mère pouvait aimer. Quand j’ai compris que plus qu’à ma propre vie, je tenais désormais à la tienne. Que chaque battement de ton cœur sur l’écran de la néonat’, que chaque gramme pris était une victoire, un pas en avant, un miracle. »
J’ai aimé que cet humour un peu hystérique d’une mère débordée alterne avec de gros éclats de tendresse pour ses enfants ou leur père. Serena résume ainsi parfaitement la situation. C’est difficile, cela change la vie mais il y a tellement d’amour à donner et recevoir.
Nous ne sommes pas loin de l’humour de Florence Foresti, humoriste que l’auteur cite ( ainsi que Gad Elmaleh). Avec peut-être davantage de tendresse.
La composition du livre est aussi rigolote avec des graphies différentes, des croquis et des espaces où vous pouvez noter vos propres impressions ou coller votre témoignage de mère en image.
Avec son dernier paragraphe sur ses promesses de mère, Serena a fini de me convaincre. Elle est une super maman!
Commentaires
Ca a l’air d’être un très chouette livre 🙂
C’est mignon…
Rien que pour le titre, cela fait envie !
Oui. Beaucoup de mamans en ont parfois ras la cape. Mais la maternité recèle tant de bonheurs aussi.
ça à l’air marrant
Et de temps en temps, ça fait du bien.
A reblogué ceci sur rosemondemarchand.wordpress.com gratuit.
Ca a l’air plaisant, mais ce n’est pas le genre de livre qui m’attire particulièrement.
Pour moi, c’est une petite lecture entre deux romans plus intenses. Cela détend. Ce n’est pas non plus ce vers quoi je vais naturellement. Mais j’ai profité de l’occasion.
Une sorte de carnet de bord pré-rempli.
Disons, un journal d’impression sur la grossesse, l’accouchement et l’éducation de jeunes enfants. Une vie de mère, quoi…
A priori ce n’est pas mon truc, mais pour se détendre un peu pourquoi pas.
J’adore le titre et ce que tu en dis, je le note !
On a toutes au moins une fois dit ce titre, même si ce n’est pas avec les mêmes mots