Titre : Voisins zinzins et autres histoires de mon immeuble
Auteur : Piret Raud
Littérature estonienne
Traducteur : Jean-Pascal Ollivry
Éditeur : Rouergue
Nombre de pages : 144
Date de parution : 7 octobre 2015

Auteur :
Née en 1971 à Tallinn en Estonie, Piret Raud  a fait des études de gravure à l’Estonian Academy of Arts. Diplômée en 1995, elle travaille depuis comme graphiste et auteur-illustratrice de livres pour enfants à Tallinn. À ce jour, elle a publié plus de 40 livres pour enfants et a été traduite en allemand, anglais, japonais, espagnol, russe et letton. Au Rouergue, elle est l’auteur d’un album et de plusieurs romans dans la collection tic-tac.

Présentation de l’éditeur :
Dans l’immeuble où habitent Taavi et sa maman, les habitants sont plus farfelus les uns que les autres… Et vous allez tous les rencontrer ! La voisine championne de bulles de chewing-gum, le crocodile malheureux en amour ou madame Inger au nez surpuissant. Le nouveau recueil d’histoires illustrées de Piret Raud ressemble à une fête des voisins un peu spéciale, tendre et totalement incroyable.

Mon avis :
Pas si courant de trouver sur mon blog de la littérature estonienne et encore moins pour enfants à partir de six ans. Babelio et ses masses critiques ouvrent des horizons inhabituels qui me donneront un jour une connaissance utile pour ma future génération.

L’imaginaire des enfants est universel.
 » L’imagination, c’est quand j’ai dans la tête des idées plus intéressantes que ce qu’il y a dans la réalité, en dehors de ma tête. »
Taavi imagine les gens et les situations en fonction de ce qu’il entend. Dire de quelqu’un qu’il a des pensées profondes, qu’un bébé grandit plus vite qu’on ne pense ou que ce qui entre par une oreille ressort par l’autre, dans la tête d’un enfant engendrent des perceptions très primaires. Alors Taavi voit autrement les personnages et les choses.
Dans son imaginaire, un homme peut avoir des jambes aussi grandes qu’un immeuble, une fille peut s’envoler avec sa bulle de chewing-gum ou un prunier pousser sous son lit.
Mais comme n’importe quel enfant, il est très attaché à sa maman et comprend même parfois ses moments de tristesse.
Les histoires sont bien écrites et sont illustrées de petits dessins enfantins.

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Personnellement, Taavi ne m’a pas semblé bien cadré dans son âge mais cela ne perturbera absolument pas un enfant.

Ce livre comble l’imaginaire des enfants et amuse par ses situations fantasques.

Je remercie Babelio et Les Éditions du Rouergue pour cette découverte estonienne.

 

 

Auteur

contact@surlaroutedejostein.fr

Commentaires

31 octobre 2015 à 19 h 51 min

Je note, par curiosité : je n’ai lu que deux livres de littérature estonienne en tout et pour tout.



1 novembre 2015 à 17 h 04 min

Une découverte dans tous les sens du terme.



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